Après une arrivée sur la piste d’atterrissage, 3 heures d’attente avant de sortir de l’avion, suite à une panne de remorquage…bienvenue en Afrique!
Le lendemain bus vers Parakou (8 heures) et transport à l’hotel: deux « Zems » (motos-taxis) pour mes 85 kilos de bagages.
Les autres journées sont consacrées à des soins, sensibilisation et dépistages, soit en me déplaçant (pensionnat de filles à 35 km de Koubou), soit en prenant des élèves de l’école locale par groupes de 10/12, ce que je trouve assez efficace: en effet, Michel fait passer les messages de prévention et sensibilisation pendant que je dépiste ou soigne dans les cas urgents.
Michel, qui était notre soignant béninois attitré est malheureusement nommé à Karimama, plus de 300 km de Parakou, et donc je dois trouver un « TSO » pour les soins courants du cabinet. (A ce jour, janvier 2016, il a commencé la collaboration).
Au retour passage par Bohicon, à la demande de Danielle responsable de ce projet, pour diverses discussions et mises au point.
A Cotonou, divers rendez-vous et discussions toujours fructueuses et amicales (Biotchanè, Zodjin, Balogoun, Adjafon).
Retour en Belgique...